La révolution n’est plus industrielle et c’est le temps de la crise.
Le destin leur a donné des ailes sur cette branche
et le monde vraiment les méprise.
Comme un rappel de lumière,
les femmes aux tenues blanches,
portent la douleur de l’infirme.
Entre sœurs, elles font des prières.
Hélas, des cœurs se débranchent,
le praticien donne l’heure et l’affirme.
Le souvenir de regards perdus et d’autres qui brillent.
Les salles d’attente épinglent d’atroces souffrances.
Vous voyez des chaises mais au fond elles voient des familles.
L’oublie est un bien détesté par notre ignorance.
Les sels de larme ajoutent une couche à leur coquille.
Pourrait-on croire qu’elles sont dans l’ombre insensible.
Elles reprennent leur vie, quand vient le repos et son heure.
Pour retrouver dans les choses simples
et imperceptibles de nombreux bonheurs.
Merci, pour ce partage intéressant et utile !