L’étranger
Promesse
Sur la blessure béante
Sur le livre imparfait
Sur les terres qui se vident
Cascades ouvertes sur l’abîme
Aimer l’amont de l’épaisseur
Les yeux mi-clos, les mains tendues
Accueillir les corps qui s’épuisent
Silence
Dans les maisons des villes
Où nul couvert n’est mis
Pour l’étranger venu
S’asseoir après l’immense.
Nombre de Vues:
240 vues
Ma tante adorée, tes mots me réchauffent en ces temps mornes et froid, encore un Noël sans toi, même si tu n’est jamais loin de moi.
j’adore. notamment les assonances et la mise en page qui dessine qqch d’indicible.