Quelques pieds sous terre, des êtres du passé,
Au sein des cimetières, connaissent un vent glacé
Eté appelle Hiver, Automne est messager
Symphonie ou accords : toutes les feuilles tombent
Comme ceux qui sont morts peut-être sous des bombes
Afin qu’on puisse encore rêver à la Colombe
Des hommes et des femmes sous des coffres scellés
Sacrés ou bien profanes, mystère bien gardé
En sourdine s’exclament : “Venez nous visiter”
Regardons la beauté d’un doux ciel vernal
Les âmes oubliées, dans l’infini spatial
De notre humanité, n’ont-elles pas leur étoile?
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Un poème que mon âme ne saurait oublier
Magnifique trilogie colombe – humanité – éternité
Bien loin se Six feet under. Un panache rayonnant dans cette verve de Toussaint.
Un beau moment de poésie , de souvenirs et de recueillement
Merci
J’aime beaucoup ce style et sa simplicité d’écriture qui reflètent parfaitement des clichés instantanés de profondeur.
Merci pour vos partages Etienne pour le plus grand plaisir de nos lecteurs…
Bien à vous,
Alain
Cet hommage plein de respect et de tendresse pour nos disparus , connus ou inconnus, leur rend une immortalité qu’ils méritent bien!
Belle introduction au mois de Novembre ! Merci du partage.
les morts ne sont pas dans les cimetières ,ils voyagent
dans l’univers où ils sont heureux
Formidable. Belle description. J’adore ton texte poétique. Visiter les morts et ceux que nous aimions est un devoir. Merci du partage.