Il était calme en regardant autour de lui.
Il n’a rien entendu, rien vu que des soucis.
Il attend la victoire pour être ébloui.
Rien n’est venu, personne n’est passé d’ici.
La fin apparaissait derrière les murailles,
Et son sang-froid glacial affrontant l’été.
Tout a été perdu dans la fausse bataille.
Et tout se dirigeait vers la brutalité.
Avant, il était l’un des braves chevaliers,
Mystère enveloppé d’une fausse clarté,
Il sentait le rouge vif sur son bouclier.
Tout diminuait, mais ses soupçons augmentaient.
Il y a peu du temps, il avait entendu
Une raucité du destin dans les bruyères
Chair maudite, souffles dispersés et perdus.
Comme s’il dormait dans les bras d’un cimetière.
Tout est devenu noir, obscur, terreux et sombre.
Tout se confond pendant les hymnes triomphaux.
Tout a disparu devant lui, même son ombre.
Son uniforme lui a aussi fait défaut,
Même son costume ne lui explique rien,
Vêtu, mais il avait l’impression d’être nu.
Ni l’odeur du feu ni la froideur de ses mains.
Perdu dans l’abîme, un passager est venu.
Suppliques et versets qu’il entendit soudain.
Courte prière et chapelet vert céladon.
Le passant en deuil prie pour l’âme du défunt.
Pour la paix, la miséricorde et le pardon.
Très émouvant votre écrit Sabre, et j’ai aimé sa lecture.
Belle soirée à vous.
Triste fin pour ce chevalier, seul la prière peut soulager…Très poignant ce poème.
Merci â vous cher Saber pour ce beau partage.
Passez une bonne journée.Mohamadine.
la victoire est dans le pardon qui amène la miséricorde et la paix,
merci du partage Saber et bonne journée en paix Colette