Le sonnet de ta beauté
Six heures du matin, mes mots tombaient en place,
Ils enlaçaient leur corps engendrant un sonnet ;
Offertes à mes yeux, mes paroles sonnaient
Les notes d’un hommage à toi la « dégueulasse ».
La plus belle beauté que je ne contemplasse,
Éblouissante au point de me rendre benêt,
La déesse d’amour dont mes sens s’éprenaient,
Tu ne résistes pas te voir dans une glace.
Pourquoi te penses-tu vilaine et sans attrait ?
Quand pour gagner ton cœur les hommes se battraient
Comme mes nuits je lutte avec stances et rimes.
Je souhaite couvrir ton âme avec mes fleurs
De sentiments profonds pour chasser tes douleurs,
Te renvoyer la majesté que tu m’imprimes.
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Quel contraste entre les mots et et les sentiments ! C’est magnifique et comme un pavée dans la mare !