L’amour vient du ciel azuré
Des anges déchus qui se reposent
Sur des sièges cotonneux rêvés
Et nous méditons aux rythmes de la pluie qui se pose.
Sans laisser d’adresse, le soleil s’est éloigné
Au pays du couchant nous laissant une dose
De bienveillance à nos regards évaporés,
Et le philosophe distille lentement sa prose.
J’erre
Par delà les terres
Au gré du vent
Au gré des pans
Monceaux de terres
Recouverts de tilleuls verts.
L’amour vient de la rivière onduleuse
Qui se jette dans le fleuve, et l’océan
Qui leur tend ses douces plages bienheureuses,
Et nous méditons au rythme du vent.
Une journée, une seule de plus
Avec toi, au rythme de la vie
Juste une journée, encore un peu plus
Tous deux rythmés au gré de la vie.
Sentir pour être vivant.
Toucher pour y croire.
Perdre ce désespoir
Qui nous envahit enlisant
Nos pensées les plus vives
Et faire de nos vies une eau vive.
Juste vivre au rythme de la vie
Juste au rythme de la pluie
Simplement
Etre vivant.
.
©Hubert-Tadéo Félizé
Très beau texte très aérien. Merci.
Merci Serge.
Très joli
envie de pénétrer ses nuages et de rester la haut.
Anne
Merci Anne
C’est un poème magnifique, merci pour le partage, bonne soirée avec ta famille. Bises
Merci Jeanine.
Très douce composition honorant l’amour ; il devrait plaire, et c’est bien
merci pour ce retour
ol
Merci Oliver.