Août 2006.
La terrasse s’ouvre,
Ciel qu’on découvre,
D’un azur épuré,
Par les rayons dorés,
Du soleil au levant.
Bateaux de plaisance
Les mâts se balancent,
A quai dans le chenal,
Où il n’est pas banal
De dédaigner le vent.
Ensuite, bâtiments
Dans l’ombre un moment,
Petites terrasses,
Juste après la place,
Aux lauriers mouvants.
Détournons les yeux,
Admirez tout ce bleu
Du ciel, de la mer,
Où le regard se perd,
Toutes voiles au vent.
Un effet d’optique,
La mer, c’est magique,
Passe au-dessus des toits,
Comme on le voit parfois,
Dans un dessin d’enfant.
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Magnifique écrit et trés belle région que ce Cap-d’Agde.
Bravo à vous Simone
Anne
Merci de votre commentaire Anne ! Prenez soin de vous !
Merci, Simone, pour le partage de ce moment poétique, tellement bénéfique !
Bonjour Brahim, merci d’avoir lu ces quelques phrases simples qui expriment des souvenirs heureux et en même temps me rappellent tant ma petite soeur ! Prenez soins de vous ! Mes amitiés.