Pour écrire un poème, vous parlez d’une galère !
Déjà trouver l’idée, avoir l’inspiration,
Griffonner quelques mots si l’on est “tête en l’air”,
Ne pas se démonter, prendre sa respiration…
C’est parti pour les vers et en plus faut qu’ils riment,
Pour le nombre de pieds faut juste savoir compter,
Et les répétions, il y a les synonymes,
Les mots doivent bien “sonner”, attention au phrasé.
Si la page reste blanche , vite arrive la déprime,
La cervelle qui bouillonne, la panique qui s’installe.
Tout en moi se mélange, il n’est pas loin le crime,
Mon poème est brouillon, il vaut vraiment “que dalle !”
Devenue à présent totalement illisible,
Allé, à la corbeille cette feuille gribouillée.
En ce vendredi treize, c’était bien prévisible,
Ce poème avorté je vais vite l’oublier !
A.S.
oui tête en l’air bien souvent, débordé par toutes ces feuilles de papier que vous tentez de ranger et qui volent dans votre bureau dans tous les sens, c’est vous qui me le dites! bon dimanche Blanche!
Tu traduis bien la frustration ressentie lorsque le manque d’inspiration se fait sentir.
Quelle plume n’a fait cette expérience ?
Merci pour ce beau partage, Alain.
Et bonne journée à toi.
tiens … j’ai connu la même chose il y a quelque temps …. mais finalement regarde ce manque d’inspiration nous va bien quand même puisque l’on arrive à en faire des poêmes … sourires ….
beau dimanche inspirant à toi.
Superbe. Entrainant. J’adore. 👏👏