J alonnant, encerclant quelquefois par ta présence notre vie, Jalousie, tu es certainement notre pire ennemie,
A vouer finalement, dû à sa proximité que nous pouvons lui dire Tu” mais pouvons-nous la considérer telle une amie ?
L entement mais sûrement, Jalousie tu nous fais plonger au plus profond de nous, par tes avances mais nous le savons, jamais, tu ne seras assouvie,
O xymore, amie ennemie, jalousie confiante, nous ne pouvons échapper à ses griffes à part certains qui t’ ont ignorée ou qui ne t’ ont point choisie,
U rbi, partout, Jalousie tu es universelle, savoir t’ évincer, notre seul instinct de survie,
S ourire lorsque nous croisons ton chemin, ne pas te croire et pourtant avec frénésie,
I nsidieusement, tu laisses planer le doute pour mieux nous ronger, nous grignoter , nous consumer par tes sous-entendus à ton effigie,
E nfin naître et renaître, ne plus te fréquenter pour éviter de faire ton apologie.
©Lise Berverly
Je suis jaloux de ce texte finement ciselé qui finit en hymne à la liberté.
Heureux de vous relire…sans provoquer de jalousie !