Sous un ciel éclatant, cuivre du crépuscule
La plaine des orangers, respire, respire
À l’air enjoliveur du printemps, soupirent, soupirent
Les branches des oliviers qui se bousculent.
Dans les champs obombrés, en Juillet que mûrisse
L’alléchant vivier de milles délices.
D’immenses oranges, de jolis oliviers
Ce mélange intense dévale mon gosier.
Sifflent les cigales, parfument la saison
De l’ode qu’on aime, à l’odeur de l’été
La pleine saveur se devra de la fenaison
Pour que l’or et l’émeraude soient récoltés.
Aldrick LM
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Beau poème champêtre
Merci beaucoup pour ce commentaire
Merci Aldrick
c’est cool de tenter des vers proches de l’alexandrin
(j’ai mêmecru que c’en était un même irrégulier)
Il est beaucoup plus agréable à lire (mon ressenti)
et amène à plus d’envol !
Oliver
Merci beaucoup du commentaire, cela va m’inciter à tenter les vers irréguliers pour diversifier encore plus!
Bonne soirée
Aldrick