Forces opposées.
Fatal, sur ces rochers, la vieille vague y meurt,
Comment, ne pas sentir, cette fin programmée ?
Rochers, algues glissantes, cette grande splendeur,
Ici, devant mes yeux, la Méditerranée.
Pliés, brutalisés, les pins, leurs frondaisons,
L’action incontrôlable, du Mistral déchaîné.
Il souffle, il souffle et souffle, sur ces pins tous penchés,
Fouettés, sans retenue, par ce vent sans saison.
Mistral, toi dictateur, ou vent réconfortant,
Tu es un élément du terroir, important,
Le vent et puis le vent, rencontre d’énergies,
Qui, la nuit et le jour, orientent notre vie.
©2018-Jehan Videcrir
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