Entre chant et sérénité
La silhouette est assise,
Entre les mains de la divinité
Elle médite, le temps cogite.
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Entre chant et sérénité
L’oiseau gazouille,
Tient à son nid, dévasté
Par les pluies le toit coule.
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Les petits oiseaux
Ne comprennent pas
Qu’ils sont des sinistrés,
Ils valsent en toute tranquillité.
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Les grands oiseaux
Avalent leurs maux,
Sans dire des mots
La silhouette laisse couler des pleurs dans le seau.
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© Fattoum Abidi – 19.12.2018
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Encore un beau poème, bravo mon amie Fattoum. Un vrai plaisir de te lire.