Il y a des devises qui s’estampent et d’autres qui s’estompent.
Si l’humanité dessine ces oeuvres, c’est désoeuvré que l’homme les décime.
Elle chemine à mi chemin, cette centraise de 40 ans dessinant son dessein, qui n’a pas fait de distinction entre la fonction de ce corps de métier et sa nature au coeur de la fonction, mais à l’heure de répondre elle l’a fait sans distingo à l’appel de sa vocation. Elle sait, que c’est là où se fait toute la différence, aux yeux de l’eminente Education Nationale.
Elle a franchit l’enseigne des idées reçues et bien que souvent elle en saigne, si elle enseigne, c’est pour mieux s’affranchir de l’enseignement de ses idéaux déçus.
Elle est affectée dans une ville du centre de la région centre val de loire où, se côtoient des élèves du centre ville et des quartiers dortoirs.
Comparée à d’autres mal logés, elle est plutôt bien lotie. Ce symbole de la République, comme une fée pudique livre à ses yeux ludiques toute la magie du lieu. Dans ces salles un peu salies, les stèles vintage au style retro sont bien dépassées, mais il y a de quoi dans ce présent, conjuguer le passé à un bel avenir. Sa classe, est déclassée au rang de l’égalité, mais gagne en prime à être sur classée dans la catégorie de la rationalité.
Elle a du mérite face à ces rangs surpeuplés de peuplades full aux dys, d’handi dont on perd le cap et dans l’arbre austère de la connaissance, le précoce lit dans ses stères les lignes de la non-reconnaissance, avec des u-lys à l’assaut de leur odyssée, qui se pénélopent dans des sections polissées.
Malgré cela, cette sanguine qui dans ce roman noir voit rouge, fait vibrer les cordes de la félicité où la fatalité n’a pas de voix mais, sur le rythme de la fraternité son coeur est une note de choix.
Pas un jour, sans qu’elle s’adonne à la vertu du “don de soi”, à faire un pas vers l’un mais pas sans l’autre, à tendre la main à tour de bras, car cette donneuse universelle, à coeur joie parfois le corps en peine s’evertue à faire jaillir de l’eau sur un désert de sel.
En super héroïne, pas cocaïne qui dans une BD de ZEP, à la tête d’une DB de ZUP se pique sur les “quand rira-t’on” de ces Vomito qui vomissent leurs gros mythos, elle se fiche des Paul, Émile, Hugo pas Victor, se fache des François pas premier ou des “Princesse Zara”.
Si l’humanité dessine ces oeuvres, c’est désoeuvré que l’homme les décime.
Elle chemine à mi chemin, cette centraise de 40 ans dessinant son dessein, qui n’a pas fait de distinction entre la fonction de ce corps de métier et sa nature au coeur de la fonction, mais à l’heure de répondre elle l’a fait sans distingo à l’appel de sa vocation. Elle sait, que c’est là où se fait toute la différence, aux yeux de l’eminente Education Nationale.
Elle a franchit l’enseigne des idées reçues et bien que souvent elle en saigne, si elle enseigne, c’est pour mieux s’affranchir de l’enseignement de ses idéaux déçus.
Elle est affectée dans une ville du centre de la région centre val de loire où, se côtoient des élèves du centre ville et des quartiers dortoirs.
Comparée à d’autres mal logés, elle est plutôt bien lotie. Ce symbole de la République, comme une fée pudique livre à ses yeux ludiques toute la magie du lieu. Dans ces salles un peu salies, les stèles vintage au style retro sont bien dépassées, mais il y a de quoi dans ce présent, conjuguer le passé à un bel avenir. Sa classe, est déclassée au rang de l’égalité, mais gagne en prime à être sur classée dans la catégorie de la rationalité.
Elle a du mérite face à ces rangs surpeuplés de peuplades full aux dys, d’handi dont on perd le cap et dans l’arbre austère de la connaissance, le précoce lit dans ses stères les lignes de la non-reconnaissance, avec des u-lys à l’assaut de leur odyssée, qui se pénélopent dans des sections polissées.
Malgré cela, cette sanguine qui dans ce roman noir voit rouge, fait vibrer les cordes de la félicité où la fatalité n’a pas de voix mais, sur le rythme de la fraternité son coeur est une note de choix.
Pas un jour, sans qu’elle s’adonne à la vertu du “don de soi”, à faire un pas vers l’un mais pas sans l’autre, à tendre la main à tour de bras, car cette donneuse universelle, à coeur joie parfois le corps en peine s’evertue à faire jaillir de l’eau sur un désert de sel.
En super héroïne, pas cocaïne qui dans une BD de ZEP, à la tête d’une DB de ZUP se pique sur les “quand rira-t’on” de ces Vomito qui vomissent leurs gros mythos, elle se fiche des Paul, Émile, Hugo pas Victor, se fache des François pas premier ou des “Princesse Zara”.
Face à l’arme des apprentissages, les tiraillés sont dans le viseur mais dans la ligne de mire des devoirs, la cible faite de savoirs est une réalité sans condition. Mais au tirailleur, s’épuiser dans le devoir est un droit sans obligation.
Pourtant les sois disant “gros moyens” déposés sur la table ne font pas le poids et nous indisposent sans peser lourd. Quand le moyen devient le résultat. C’est peut être là l’erreur.
Ils ne sont pas une garantie de réussite mais une condition, avec résultat pour seule obligation, car l’école est cette belle doyenne de la faculté, mais à l’université des savoirs, l’élève universel aura t’il la capacité du savant? La République a cette qualité d’être une chance pour tous, avec le défaut de la défiance mais alors, dans ce contrat où la confiance est promue, qui pour assurer le service après vente?*Combien de Ducobu, d’Anatole latuile, de petit César qui à la cérémonie des savoirs “sont venus, ont vus, sont perdus” sur le bord de la nationale. Elle ne veut pas dans ce musée de l’éducation, être statufiée, pour finir jurassique dans ce parc, car dans cette guerre elle a une position bien tranchée, et si la question du statut soude, la réponse est souvent caustique, ce qu’elle veut c’est donner les armes, pas les prendre, sur son coeur sécher ses larmes mais pas les rendre. Cette institution est devenue un portefeuille démagogique, où l’on fait croire qu’avec moins on fera plus, mais comment avancer quand le moteur de la pédagogie a perdu sa transmission. On nous voile les yeux d’un épais tissu de pseudo réformes, qui se décident en coulisses dans les conseils des sinistres, et quand le rideau de fin tombe comme un couperet sur le budget, il laisse aux spectateurs des miettes, et aux élèves conso-acteurs les restes.
Au rang des pires on est pas les meilleurs, mais dans la classe des mauvais nous sommes plutôt bons et quand les finances se délitent, c’est les élites de la France qu’on débite.
La devise “Liberté égalité fraternité” était l’essence d’un système qui a perdu son carburant et quand le réservoir des savoirs se vident c’est moins super.
Dans ce système qui se joue tard, l’école est une star en peine dans un système en panne.
A l’ère de l’évolution technologique, à quand la révolution académique?
Pourtant les sois disant “gros moyens” déposés sur la table ne font pas le poids et nous indisposent sans peser lourd. Quand le moyen devient le résultat. C’est peut être là l’erreur.
Ils ne sont pas une garantie de réussite mais une condition, avec résultat pour seule obligation, car l’école est cette belle doyenne de la faculté, mais à l’université des savoirs, l’élève universel aura t’il la capacité du savant? La République a cette qualité d’être une chance pour tous, avec le défaut de la défiance mais alors, dans ce contrat où la confiance est promue, qui pour assurer le service après vente?*Combien de Ducobu, d’Anatole latuile, de petit César qui à la cérémonie des savoirs “sont venus, ont vus, sont perdus” sur le bord de la nationale. Elle ne veut pas dans ce musée de l’éducation, être statufiée, pour finir jurassique dans ce parc, car dans cette guerre elle a une position bien tranchée, et si la question du statut soude, la réponse est souvent caustique, ce qu’elle veut c’est donner les armes, pas les prendre, sur son coeur sécher ses larmes mais pas les rendre. Cette institution est devenue un portefeuille démagogique, où l’on fait croire qu’avec moins on fera plus, mais comment avancer quand le moteur de la pédagogie a perdu sa transmission. On nous voile les yeux d’un épais tissu de pseudo réformes, qui se décident en coulisses dans les conseils des sinistres, et quand le rideau de fin tombe comme un couperet sur le budget, il laisse aux spectateurs des miettes, et aux élèves conso-acteurs les restes.
Au rang des pires on est pas les meilleurs, mais dans la classe des mauvais nous sommes plutôt bons et quand les finances se délitent, c’est les élites de la France qu’on débite.
La devise “Liberté égalité fraternité” était l’essence d’un système qui a perdu son carburant et quand le réservoir des savoirs se vident c’est moins super.
Dans ce système qui se joue tard, l’école est une star en peine dans un système en panne.
A l’ère de l’évolution technologique, à quand la révolution académique?
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Merci OberLenon.
Je suis désespérément, totalement en phase avec votre analyse.
Nous assistons chaque année où post elections au bal des réformes.
Ce qui importe les ministères, en particulier celui-ci est de laisser sa signature, son nom, alors que le fond manque de profondeur.
Il suffirait juste de revenir à l’essentiel, l’ecole de la vie!!
Bien à vous.
Merci pour ce texte. L’éducation nationale est certainement un des ministères où l’on passe le plus de temps à faire des réformes. Pour chaque ministre, il s’agit de laisser son empreinte. A peine le temps pour les enseignants d’assimiler de nouvelles IO et d’organiser les pratiques qu’une nouvelle vague d’instructions les submerge. Lorsqu’on maîtrise une pédagogie, il faut en changer… Et si on laissait enfin les enseignants réaliser ce qu’ils savent faire : enseigner et utiliser leur expérience pour adapter les contenus aux élèves . Ce serait une grande avancée que le ministère écoute la base , ceux qui sont sur le terrain et s’investissent au quotidien pour aider les élèves à apprendre au mieux. Un jour viendra…j’y crois encore
Merci pour ce beau et profond texte pédagogique.
Selon mon avis le système éducatif on doit le réviser partout dans le monde ça urge.
Les élèves sont les futures générations de nos pays du monde Que le programme psypédagogique soit innovateur et fiable pour l’enseigné et l’enseignant.
Mes amitiés
Fattoum.
Merci Fattoum!
En effet, il y a urgence.
Celle -ci s’accroît au travers de cette pandémie qui nous fait face.
Je crois malheureusement que, malgré les rappels, les sommations de nos enseignants, nos élites ont abandonné non pour des raisons sanitaires, mais purement économiques.
Bien à vous.