A l’aube, avec vous ou sans vous, constamment, je suis en partance ,
B lessure ardente ou égratignure superficielle de mon coeur meurtri, cela a-t-il de l’importance ?
S ensibilité exacerbée à son paroxysme, ressentez-vous pour moi la même accointance ?
E valuer, apprécier, mesurer par mes sentiments ce qui nous sépare cette palpable distance,
N ichée, tapie au plus profond de moi, cette attente, que dois-je penser, vous moquez-vous de mes doléances ?
C ouvrir par ces mots votre silence, je m’ouvre à vous avec béance,
E clipse, absence, je vous poursuis de mon assiduité avec cette note d’entêtement et un bémol de constance…
©Lise Beverly
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Bonjour, je découvre et m’invite à pas de loup dans votre univers……ils sont feutrés les pas et sages.
Bonjour Philippe, j’apprécie que vous avanciez à pas de loup, lentement pour lire mes acrostiches, à la tombée de la nuit, entre chien et loup… vous êtes le bienvenu dans cette contrée sauvage ….Amicalement poétiquement. Lise.