Certains séduisent avec un sourire ou des fleurs,
Mais moi c’est avec ma plume que je touche leur coeurs.
Les poèmes ne décrivent pas la femme,
Car la femme serait en elle même tout un poème.
Elle serait un mot que je coucherais sur le papier.
De ma plume d’oie, lentement je l’allongerais.
Je roulerais les “r”, je creuserai les “v”
Et avec larmes qui coulent de ses yeux, j’écrirais.
Le regard assassin de cette académie:
Deux pierres d’étoiles montées par un grand orfèvre,
Me fais perdre tout sens et d’être j’oublie.
Et j’abîme dans la gorge de son bûcher funèbre
Comme un petit garçon perdu dans la forêt,
Je m’égare dans les mots qui la compose, troublé.
L’envie me prend de l’embraser et de l’habiter
Depuis que j’ai goûté à ses ardents baisers.
L’effacer de ma mémoire serait impensable,
De ses belles paroles, je suis insatiable.
Elle chante, j’écris
Elle danse, je vis.
Et quand comme la pluie elle pleure, je meurs.
Et quand comme la flamme elle meurt, je pleure.
.
©Kevin Casimir – 09/08/2018
Merci et bravo notre poète très bel hommage à la femme qui mérite tant d’hommages, cette être céleste et laborieuse . Elle est bienfaisante pour sa famille, pour sa société . et pour son humanité , bel écrit dont le ressenti est brave et humain
Belle journée.
Mes amitiés
Fattoum.
merci beaucoup
Un joli texte des plus flatteurs pour cette si charmante moitié du ciel… qui le mérite bien.
merci bien
Merci pour nous…
Bien beaux ressentis que les vôtres
continuez donc à nous rendre hommage
nous ferons de même.
Anne
merci bien. je ne suis qu’un humble romantique qui laisse s’exprimer ses sentiments.