Toujours dans mes pensées, et votre voix rêvée,
Toujours je vous perçois dans ma photographie,
Vous êtes cette voix qui éclaire mon lit,
Vous êtes cet esprit qui veille à mes côtés !
Innocence perdue dans les couloirs du temps,
A travers mes écrits je vous mentionne encore,
D’une goutte de sang, j’ai délié le vent,
Où vos cendres, hier, détachées de vos corps,
Se sont amalgamées dans l’iris de mes yeux,
Vous pensiez à la fin, je pensais au départ !
En vos noms je chéris l’amour si pernicieux.
Celui que l’on n’oublie jamais dans notre cœur,
Alors, détrompez-vous ! Père et Mère, au liard
De votre jeu cruel je lutte avec ferveur !
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©Hubert Tadeo Felizé – 28/10/2018
Fidélité dans le souvenir très fort d’un sentiment tout intériorisé.
On est touché.
Un règlement de conte avec une force peu commune, celle d’une écriture en résilience. Touché.
sonnet puissant, il me semble en 1ère lecture
merci pour le partage
O