Les gouttes de pluie qui cinglent les vitres et dégoulinent en lignes ondulées,
Font un bruit fracassant, résonnant bruyamment en des sonorités frondeuses.
Le temps aujourd’hui est à la tempête, tout projet de sortie se voit bousculé.
Il va falloir être patient, perspective de quelques tristes journées ennuyeuses.
Cette fin d’hiver qui est froide, grise et morose, se fait attendre impatiemment.
Arriveront les beaux jours pour que dans nos poèmes naissent de belles rimes.
Vers fougueux seront ponctués de sonorités accentuées sans aucun bégaiement.
Le printemps n’est pas trop pressé d’annoncer l’arrivée de journées sublimes.
La vie est une ritournelle de saisons comme le sont les refrains d’une chanson,
Mais sans que reviennent dans les même conditions satisfaction ou désagrément.
Il faudra bien s’en accommoder pour ainsi l’accepter sans trop faire de façons
Cette farandole qui nous affole nous laisse-t-elle le choix de faire bien autrement.
Écrire ces textes qui nous font rêver avec plaisir et beaucoup de gourmandise,
Dans ce printemps des peuples mais aussi bien des poètes où la révolte gronde.
Poésie heureuse, malheureuse,emblème ou porte drapeaux d’idées insoumises.
Revivre libre d’un souffle franc, ou tout en fin devient en dessin bulles fécondes.
Le printemps des poètes est enfin revenu après une année ma fois bien fourbue
A devoir chercher dans nos imaginaires , encore de belles histoires à raconter,
Les gouttes de pluie se raréfient, les vitres s’assèchent sous le soleil revenu
On entend plus leurs bruits assourdissants, plutôt quelques anatidés caqueter.
A vos plumes mesdames et messieurs les poètes il est venu le temps d’écrire.
Vers rimés et découpés en césures syllabiques qui vous ont tant tourmentés,
Feront j’en suis sûr, de belles poésies que l’on voudra publier sans coup férir.
Ainsi naissent les poèmes pour un jour être exposés sans trop de gravité.
© Jean-Luc Richevaux – 20/04/2018
A vos plumes mesdames et messieurs les poètes il est venu le temps d’écrire.
Vers rimés et découpés en césures syllabiques qui vous ont tant tourmentés,
Feront j’en suis sûr, de belles poésies que l’on voudra publier sans coup férir.
Ainsi naissent les poèmes pour un jour être exposés sans trop de gravité.
Bravo Jean-Luc pour cet appel à l’écriture de la poésie . Car on a besoin de la poésie pour changer le monde vers le meilleur,
Très beau partage j’apprécie ma lecture
Agréable journée
Mes amitiés
Fattoum.
jolie lecture en ce matin ensoleillé …
bon we printanier à vous.
Pascale