Une main – Michel Saltaire

A  Lucienne Maville Anku

 

Une main qui s’oublie pour autrui

un trophée de santé est pour le corps

et la main qui n’a que son ventre

un bataillon de puces dans le sang

 

Une main qui s’oublie pour autrui

porte l’allégresse des visages ensoleillés

au foyer des petites destinées

 

Une main toujours plaquée au flanc du corps

plonge dans l’abîme des aiguillons la destinée

et loge la chair dans le bloc des fourmis

au rude chantier de la vie

 

 

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Michel Leutcha

Michel Leutcha (99)

Je m'appelle LEUTCHA MICHEL. Mon nom de plume est MICHEL SALTAIRE. Je suis poète et j'ai publié BERCEAU DES CHATS ET DES SOURIS aux Éditions L'Harmattan à Paris en 2009, JUDAS DE JADIS, JUDAS D'AUJOURD'HUI dans la même maison d'édition en 2013, puis PINCEAU ARC-EN-CIEL suivi de ÉCRITS DE JOUVENCE aux Éditions Proximité à Yaoundé en 2018 ; en février 2022, j'ai publié dans la même maison d'édition L'HONNEUR DANS LES LARMES ET LE SANG.En 2023, j'ai publié Comment vivre heureux sur terre et aller au ciel et Devenir milliardaire par la magie des mots. Jésus-Christ est mon Seul Maître et la Poésie ma passion.

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7 Commentaires
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Colette Guinard
Membre
20 juin 2021 12 h 48 min

une main qui s’oublie pour autrui, belle poésie sur la fraternité, vous qui êtes si dévoué au prochain, vos mains telles des caresses réchauffent notre coeur !Merci et bonne journée! Colette

Lucienne Maville-Anku
Membre
18 juin 2021 21 h 41 min

Michel
Vous vous êtes arrêté
Ce soin vous l’avez pris
Pour me dédicacer
Cette belle poésie
Que vous a inspirée
Ce qui allait pour moi
Tout simplement de soi
Le Ciel vous a doté
Et cela je le vois
D’un cœur reconnaissant
Pour savoir apprécier
Même ce qui va de soi
C’est preuve d’humilité
Quelle belle qualité
Vous occupez ainsi
Des êtres grands le rang
Je vous dis donc merci
Pour votre grand élan
D'”une main qui s’oublie”
(Lucienne Maville-Anku, 18/06/21))

Plume de Poète
Administrateur
18 juin 2021 6 h 49 min

Ravi de vous retrouver Michel et de vous lire.
Merci pour vos partages poétiques que nous apprécions beaucoup.
Bien à vous,
Alain