D’une confidence
Une gorge jaune grasse énerve
Les vengeances solidaires aux ventres éventrés
Je ne veux plus de geste ils me courbent
Un bref innombrable m’assaille et claquent ses fenêtres
Au-dessous des quarts d’heure élastiques
Je te redis l’obstacle et ses jouissances sinueuses
Ta colère a raison en quatorze empreintes évanescentes tour à tour
Leurs genoux désobéissent on me le scandera demain encore je le devine
Les miens s’alourdissent malgré leurs frissons déshonorés
Ils mentent si mal que tes joues se raréfient
Perspicace conséquence des montagnes en poussière
Tes années misère s’efforcent de longer la lumière jusqu’en peur
Regarde ton voile il se déchire et toutes tes mains
Pleurent soubresauts
Un jour tu as cessé d’avaler les décombres
Et il n’en reste qu’une
Une dénudée dont l’aile scintille
Sous ton talon s’extirpe péniblement un oui à la mort
Un immédiat nous inonde nous dilate et cruel nous dément
Je reviens d’un précisément flou
Où j’ai petitement affronté mes sèves désolées
Je me confesse en lumières à fendre un monde orphelin
Turbulences murmurées à plein poumons
Partout des lignes noires
Zèbrent mon sang
“Je reviens d’un précisément flou
Où j’ai petitement affronté mes sèves désolées
Je me confesse en lumières à fendre un monde orphelin”
🪶
“Je reviens…”
Revenir est clef d’espérance.
Merci, pour le partage. 🪶