Je me suis réveillée ce matin dans un monde différent,
Où les politiciens corrompus
Ont été transférés sur une île inconnue
Loin de tout, loin des gens.
Entourés de gardes armés jusqu’aux dents
Bien rémunérés et bien nourri,
Des politiciens ils font fit
Ignorant leur grandeur d’antan.
Depuis l’Arctique jusqu’à l’Antarctique
Les milliardaires sont dispersés
Et leur compte en banque évaporés
Dans le monde entier au profit du public.
Les violeurs d’enfants ont été exécutés
Dans le froid isolé de l’Alaska et de la Sibérie;
Les meurtriers restent enfermés à vie;
Les innocents sont réintégrés dans la société.
Les Sans Domicile Fixe ont trouvé un toit
Les chômeurs un travail
Dans un pays sans pagaille
Où chacun est chez soi.
Les malades et les handicapés finalement
Ont droit aux soins longtemps refusés
Par les gouvernements blasés
Qui n’ont plus de pouvoir maintenant.
Faute d’armement, les guerres n’existent plus
De par le monde les travailleurs
Reçoivent le salaire mérité de leur labeur
Et la vermine a disparu.
Hélas, tout ce monde merveilleux existe
dans les ondes de mon âme à la dérive.
Je me suis réveillée ce matin dans un monde différent,
Où les politiciens corrompus
Ont été transférés sur une île inconnue
Loin de tout, loin des gens.
Entourés de gardes armés jusqu’aux dents
Bien rémunérés et bien nourri,
Des politiciens ils font fit
Ignorant leur grandeur d’antan.
Depuis l’Arctique jusqu’à l’Antarctique
Les milliardaires sont dispersés
Et leur compte en banque évaporés
Dans le monde entier au profit du public.
Les violeurs d’enfants ont été exécutés
Dans le froid isolé de l’Alaska et de la Sibérie;
Les meurtriers restent enfermés à vie;
Les innocents sont réintégrés dans la société.
Les Sans Domicile Fixe ont trouvé un toit
Les chômeurs un travail
Dans un pays sans pagaille
Où chacun est chez soi.
Les malades et les handicapés finalement
Ont droit aux soins longtemps refusés
Par les gouvernements blasés
Qui n’ont plus de pouvoir maintenant.
Faute d’armement, les guerres n’existent plus
De par le monde les travailleurs
Reçoivent le salaire mérité de leur labeur
Et la vermine a disparu.
Hélas, tout ce monde merveilleux existe
dans les ondes de mon âme à la dérive.
Des mots simples pour traduire un rêve qui reste à réaliser. Votre rêve traduit l’idée d’une pompe qu”il nous faut amorcer pour que l’efficacité soit bien réelle…Rien ne sert de sourire et de comparer ce texte à une utopie “enfantine “…osons commencer à balayer devant nos portes.
Merci de cette bouffée de “mieux être”.
Je vous suis pas à pas de Loup.
On peut toujours rêver ça ne fait de mal à personne. Bravo pour cet écrit d’un autre monde. IRIS