Un monde différent Bernadette Laroze

Je me suis réveillée ce matin dans un monde différent,

Où les politiciens corrompus

Ont été transférés sur une île inconnue

Loin  de tout, loin des gens.

Entourés de gardes armés jusqu’aux dents

Bien rémunérés et bien nourri,

Des politiciens ils font fit

Ignorant leur grandeur d’antan.

Depuis l’Arctique jusqu’à l’Antarctique

Les milliardaires sont dispersés

Et leur compte en banque évaporés

Dans le monde entier au profit du public.

Les violeurs d’enfants ont été exécutés

Dans le froid isolé de l’Alaska et de la Sibérie;

Les meurtriers restent enfermés à vie;

Les innocents sont réintégrés dans la société.

Les Sans Domicile Fixe ont trouvé un toit

Les chômeurs un travail

Dans un pays sans pagaille

Où chacun est chez soi.

Les malades et les handicapés finalement

Ont droit aux soins longtemps refusés

Par les gouvernements blasés

Qui n’ont plus de pouvoir maintenant.

Faute d’armement, les guerres n’existent plus

De par le monde les travailleurs

Reçoivent le salaire mérité de leur labeur

Et la vermine a disparu.

Hélas, tout ce monde merveilleux existe

dans les ondes de mon âme à la dérive.

Je me suis réveillée ce matin dans un monde différent,

Où les politiciens corrompus

Ont été transférés sur une île inconnue

Loin  de tout, loin des gens.

Entourés de gardes armés jusqu’aux dents

Bien rémunérés et bien nourri,

Des politiciens ils font fit

Ignorant leur grandeur d’antan.

Depuis l’Arctique jusqu’à l’Antarctique

Les milliardaires sont dispersés

Et leur compte en banque évaporés

Dans le monde entier au profit du public.

Les violeurs d’enfants ont été exécutés

Dans le froid isolé de l’Alaska et de la Sibérie;

Les meurtriers restent enfermés à vie;

Les innocents sont réintégrés dans la société.

Les Sans Domicile Fixe ont trouvé un toit

Les chômeurs un travail

Dans un pays sans pagaille

Où chacun est chez soi.

Les malades et les handicapés finalement

Ont droit aux soins longtemps refusés

Par les gouvernements blasés

Qui n’ont plus de pouvoir maintenant.

Faute d’armement, les guerres n’existent plus

De par le monde les travailleurs

Reçoivent le salaire mérité de leur labeur

Et la vermine a disparu.

Hélas, tout ce monde merveilleux existe

dans les ondes de mon âme à la dérive.

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Philippe X
Membre
2 août 2019 10 h 02 min

Des mots simples pour traduire un rêve qui reste à réaliser. Votre rêve traduit l’idée d’une pompe qu”il nous faut amorcer pour que l’efficacité soit bien réelle…Rien ne sert de sourire et de comparer ce texte à une utopie “enfantine “…osons commencer à balayer devant nos portes.
Merci de cette bouffée de “mieux être”.
Je vous suis pas à pas de Loup.

IRIS 1950
Membre
1 août 2019 21 h 24 min

On peut toujours rêver ça ne fait de mal à personne. Bravo pour cet écrit d’un autre monde. IRIS