En poussant une porte, Je la vois si accorte. Elle est de dos, occupée, Dans ses petits jean’s moulés Sur ses fesses de déesse Tout droit sortie de Grèce. Le désir est toujours là, Tapi tout au fond le revoilà. Elle me voit, me salue bien, Discute de tout et de rien… Ce moment est … Lire plus
Poussant la porte battante, Elle sortait de la douche, Toujours d’humeur tempérante, Mais sans mot de sa bouche. Elle est comme cela La Voiz : Pas un mot : elle dit tout De son regard qui vous toise. Elle sait me rendre doux. Tétanisé, charmé, béat, Moi, je la regarde coi. “Que dire ? “, … Lire plus
Tout commence par ses yeux Rieurs, coquins, si merveilleux, Qui semblent abriter secrets, Douleurs, joies, affabilité. Par la suite, on descend Le furieux et blond torrent De ses cheveux aériens Qui flottent jusque sur ses seins. Au dessous d’un cou de reine, Elle se présente sereine, Cette divine poitrine Qui émerveille, coquine. Suit une chute … Lire plus
Lorsque je suis avec elle dans cet endroit, A discuter en son hôtel, je sens que je suis moi. Véritablement belle et délicate pensée Où se perdent mes délires de sombre égaré, Il n’y a pas un moment où je ne l’ai pas aimée. Zen, je le devenais toujours ainsi accompagné. DUBRAS Pierrick, 27 septembre … Lire plus
Nos lèvre s’entrechoquent doucement, Elles s’entrouvrent machinalement, Délivrant deux langues si avides, Tout autour de nous deux tout se vide, Nos deux mains commencent à s’égarer, Nos doigts délicatement à chercher, Les cartes de nos deux corps fiévreux S’entremêlent, tourbillons furieux; Tous nos vêtement s’échappent sans heurts, Chacun ressent qu’il est enfin l’heure… Là, je … Lire plus
Un murmure dans mes souvenirs. Une rémanence de mes soupirs. Quatorze années sans jamais la voir. À peine sur le net l’apercevoir. Quatorze années à me le dire Que je ne fais ici que me mentir : Je l’aime mais je n’ai pas le courage De lui faire la cour d’un autre âge. Pourtant ses … Lire plus
Peut-être pourrais-je mieux la soutenir… Peut-être aurait-elle pu moins souffrir… Peut-être aurais-je dû ne penser qu’à elle, Peut-être en restant l’ami confidentiel. Peut-être la serrer dans mes bras sans, Peut-être, penser à rejoindre ses draps. Peut-être devrais-je moins penser à moi. Peut-être aurais-je dû mettre en avant le”toi”. Peut-être que sa beauté est une excuse, … Lire plus
On n’y entre pas très facilement. Rien n’est plus doux une fois dedans. On y est bien, on s’y trouve au chaud. Le lieu est entretenu, charmant. On rêve tant encore en partant. C’est comme un délicieux gâteau. On en reprendrait tous les jours autant. On le déguste en prenant son temps. On en admire … Lire plus
Elle est secrète, elle est ouverte Au monde, La Voiz, comme sa porte. Son cœur est un trésor, aussi son corps. Elle aime rêver, La Voiz, au dehors, En scrutant par sa grande fenêtre, Sans regarder vraiment d’autres êtres, Juste les yeux au loin dans le vague, Ne voyant pas tous ceux qui la draguent. … Lire plus
Je la vois, elle est là. Je la vois,oui, là-bas. Je la vois, loin de moi. Je la vois, qui s’assoit. Je la vois, qui rêve. Je la vois, ma sève. Je la vois, sa chambre. Je la vois, si libre. Je la vois, qui parle. Je la vois, idéale. Je la vois, j’écoute. Je … Lire plus
Doucement, elle se réveille, Son corps s’étire sous les rais du soleil, Chatte souple, une merveille, Dévoilant sa peau couleur de miel. Ses rêves furent tortueux, Mais doux comme un spiritueux, Chatouillant ses délicats yeux Tels des papillons soyeux. Elle resterait bien au lit, Dans cet état béni, Lascive, d’une beauté inouïe, Ressassant ses pensées … Lire plus
Amertume et raison
