Elle déshabillait les mots De leur propre sens premier Les plongeant au quotidien Dans la suave lave d’un bain De pure poésie lascive Mi magique mi mystique Style semi automatique Divinement ensorcelante Et la toile criait Yallah En lisant Mona Nella.
On y descend par une sorte d’escalier Enfer ou paradis. Qu’en savons-nous ? Rangées de hautes colonnes grises. Lueurs vagues. Faisceaux ignés. On y peut trouver les plus abjects Comme les plus délicieux paysages. Ravin entre deux massifs Brun clair. Source tiède, herbacée. Plantes noires. Laper. S’y baigner. Végétation odoriférante Près du limba de … Lire plus
Forêt bleu sang : des personnages chantent à dos de taureau, procession des milliers de lances et la terre sur le dos de tour valise. Surréalisme en transe le long des palmiers millénaires ; poisson chat nage sur la ville en rouge et sono hippopotame. Les personnages hululent la transe rythmique dans le plus simple appareil ; papillons … Lire plus
Le saphir indiscret qui prospecte le vide et le tourment secret des tristes marécages renforcent le sang-froid du lutin pétitionnaire auprès du sceptique automate qui voudrait tout savoir Le souffle du travailleur renferme la rédemption torturante de la fantaisie luxuriante et la philanthropie phénoménale du fossoyeur sénile qui fouit sans fouiner dans le passé … Lire plus
Tous les méchants sont buveurs d’eau Les morts gouvernent les vivants Si le jour fait place à la nuit Passez sur la barque légère C’est toujours à recommencer Mais puisque nous vivons un rêve Ni vous sans moi ni moi sans vous Tous les méchants sont buveurs d’eau Vide ton esprit de toi-même … Lire plus
