J’ai écrit, un jour
Qu’il n’était pas sage
Que Socrate, à son tour
Subisse un sabotage
Tout comme Sénèque
Ces immenses piliers
Ces trésors intrinsèques
Qu’on ne peut oublier
Deux civilisations
Enterrées d’un coup
Pour de fausses raisons
Il faut être fou !
Sénèque, toi, le sage
Toi qui n’es jamais mort
Envoie donc un message
À ces gens qui ont tort
B.Boumedien, le 8 novembre 2019
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Je ne peux qu’applaudir, cher Brahim, à ce texte qui rappelle combien nos élites ont perdu tout sens commun n’ayant eu sans doute que de mathématiques dans les veines et dans l’esprit, c’est-à-dire peu de choses en vérité. Les Humanités comme leur nom l’indiquent aideraient ce siècle mathematico-technologique à être plus soucieux de l’être qui désormais sommeille en nous avec des restes de Tite-Live, d’Aristote,… et de tous les autres.
Parfaitement, Christian ! Merci, pour ta sympathique visite et ton commentaire, comme toujours, très pertinent !
Brahim, on pourrait dire populairement “tout fout le camp !”. Merci, bon week-end.
Merci, pour ton agréable visite, Simone ! Entièrement de ton avis : dans l’un de mes poèmes intitulé : “Un monde à l’envers”, j’en parle.