dans la rue sombre,
une pluie de mars,
une fontaine riante,
le silence de tes mains,
et sur le quai,
étreinte délicieuse,
j’abandonne à tes lèvres
la flamme des plaisirs…
vois, je laisse à la nuit
le temps de dormir encore,
et ta peau qui résonne
sur les rives de nos rêves,
car ne bat que le vent
dans le temps des soupirs,
car ne s’écoule que la nuit
dans le frémissement de l’eau
c’est beau et plein de mystère… le votre. Merci de nous en livre un petit bout !