Encore une fois depuis que je suis né,
Je me sens sot d’abord parque je lui dois ce sonnet.
Je pense à l’air dans ses mots biens façonnés.
Son vocabulaire en rime de loin me dépassait
Comment lui dire qu’elle me plait et me fait frissonner
J’ai mis une alerte au seuil de mes ailes pour ne pas les bruler
J’avais beau crié elle était vraiment loin de moi en année.
J’ai remarqué qu’en mettant du lait dans mon café.
Dans l’imaginaire je pensais à elle sans me forcer.
Comment cela se fait ? L’univers s’est peut être ainsi formé.
Courbures hypnotique venaient depuis le bord se tracer.
Magnifique sa beauté me repoussait.
Blanc pure frais, pour la température à baisser.
A la limite de ce que l’on peut imaginer
Dans un silence de galaxie, elle me laisse potasser
En assemblé, elle fuie l’asphyxie des basses pensées.
Elle aime les sciences qu’elle n’apprend jamais assez
De la métaphysique, son reflet s’est rapproché
Elle l’explique par un effet, son visage sait me réchauffer
En spirale, dessus mes yeux se voient fixés
Aux étoiles son cœur depuis s’est agrippé.
Au final je suis déçu de ne pouvoir le décrocher.
Poète fou. 06/09/2016 (Sonnet Amélie)