Sonnet Amélie – Poète fou. Gojif Fouad

14224848_301580216870527_5368679793691136393_n

Encore une fois depuis que je suis né,

Je me sens sot d’abord parque je lui dois ce sonnet.

Je pense  à l’air dans ses mots biens façonnés.

Son vocabulaire en rime de loin me dépassait

Comment lui dire qu’elle me plait et me fait frissonner

J’ai mis une alerte au seuil de mes ailes pour ne pas les bruler

J’avais beau crié elle était vraiment loin de moi en année.

J’ai remarqué qu’en mettant du lait dans mon café.

Dans l’imaginaire je pensais à elle sans me forcer.

 Comment cela se fait ? L’univers s’est peut être ainsi formé.

 Courbures hypnotique venaient depuis le bord se tracer.

Magnifique sa beauté me repoussait.

Blanc pure frais, pour la température à baisser.

A la limite de ce que l’on peut imaginer

Dans un silence de galaxie, elle me laisse potasser

En assemblé, elle fuie l’asphyxie des basses pensées.

Elle aime les sciences qu’elle n’apprend jamais assez

De la métaphysique,  son reflet s’est rapproché

Elle l’explique  par un effet, son visage sait me réchauffer

En spirale, dessus mes yeux se voient fixés

Aux étoiles son cœur depuis s’est agrippé.

Au final je suis déçu de ne  pouvoir le décrocher.

Poète fou. 06/09/2016 (Sonnet Amélie)

 

Nombre de Vues:

15 vues
S'abonner
Me notifier pour :
guest

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Voir tous les commentaires