c’est comme si dans son il y avait de l’amertume,
Un vol fragile qui d’humidifie dans une parole.
C’est ainsi et pourtant il va falloir avancer dans la brume,
L’oeil s’ écarquille laissant présager un futur sans fariboles.
Tout comme les marées, sans ricaner, la vie suis son cours,
L’écolier d vient étudiant, la scolarité s’en va avec des souvenirs.
Le nombre des années scabreuse, secondaire où l’on croît amour !!
Et puis l’imparfait arrive, mélancolie d’un futur présent, passé de rires.
L’avenir est un cadeau et s’il faut s’enfuir a l’instant
Comme l’aiguille de l’épicéa Noëlique, faire son éphémère.
Une vague arrive, une seconde la Suisse mélodieusement
Comme une tourterelle qui écoute la houle qui roucoule.
Elle pleure ma mère..
Ce n’est pas le départ qui l’attriste, c’est la distance qui fait!!
Depuis longtemps, a tout vents, elle a mal au ventre de savoir.
Il faut s’y faire, déjà bébé le nourrisson est sorti , livré
Au sort de sa destinée, il lui faut désormais s’aguerrir sans miroirs.
L’étais s’efface, au printemps une nouvelle branche dans la ramure
Croît sévèrement, nouveau bourgeon qui comme le papillon
Passe par de multiples phases, c’est ça la conjoncture.
Ainsi va la vie, essore tes larmes, je redeviens breton.
⊙F Garnier