
Au café, dans les gares
Dans les pubs, aux comptoirs
Dans les cours, dans les squares,
Les boîtes du samedi soir
Dans la foule, dans les foires,
Au flipper, au milk-bar
Sous un néon blafard
Dans un club, dans le noir,
Refrain : Y’a quelqu’un qui t’attend quelque part
Toujours une fille, un sourire, un regard
Quelqu’un qui t’attend quelque part
Dans les trains de banlieue
À la station d’en face
Sur un quai sans ciel bleu
Dans le métro qui passe ou repasse,
Au ciné, le lundi,
Dans une pub, dans un flash,
Sur l’écran sur ta vie,
Sur l’affiche qu’on arrache,
Au refrain
Dans un rêve oublié
Un flash-back inédit
Souvenir inventé
Un visage évanoui
Dans le flux des trottoirs
Quand les kiosques ont fermé
Dans ces gens sans histoire
Ces fantômes ignorés
Refrain final:
Y’a quelqu’un qui t’attend quelque part
Toujours une fille, un sourire, un regard
Quelqu’un qui t’attend quelque part
Une fille, un sourire, au hasard.

Né d'un père photographe et musicien et d'une mère poètesse, Jean-Marie Audrain s'est mis à écrire des poèmes et des chansons dès qu'il sut aligner 3 mots sur un buvard puis trois accords sur un instrument (piano ou guitare). À 8 ans, il rentre au Conservatoire pour étoffer sa formation musicale.
Après un bac littéraire, Jean-Marie suit un double cursus de musicologie et de philosophie à la Sorbonne.
Il se met à écrire, dès cette époque, des textes qui lui valurent la réputation d’un homme doublement spirituel passant allègrement d’un genre humoristique à un genre mystique. D’ailleurs, il reçut de la SPAF (Société des Poètes et Artistes de France) un grand diplôme d’honneur en ces deux catégories.
Dans ses sources d’inspiration, on pourrait citer La Fontaine, Brassens et Devos.
Lors de la naissance du net, il se prit à aimer relever les défis avec le site Fulgures : il s’agissait de créer et publier au quotidien un texte sur un thème imposé, extrêmement limité en nombre de caractères. Par la suite il participa à quelques concours, souvent internationaux, et fut élu Grand Auteur par les plumes du site WorldWordWoo ! .
Il aime également tous les partenariats, composant des musiques sur des textes d’amis ou des paroles sur des musiques orphelines. Ses œuvres se déclinent sur une douzaine de blogs répartis par thème : poésie, philosophie, humour, spiritualité…sans oublier les Ebulitions de Jeanmarime (son nom de plume). Un autre pseudo donna le nom à son blog de poésies illustrées : http://jm-petit-prince.over-blog.com/
Pendant longtemps il a refusé de graver des CD et d’imprimer ses œuvres sur papier, étant un adepte du principe d’impermanence et méfiant envers tout ce qui est commercial. Malgré tout il vient d'autoéditer le florilège de toute en vie et dans tous les syles : https://www.amazon.fr/Petit-Prince-Mots-dit/dp/B0BFVZGNYM et d'écrire des chansons pour 3 CD d'Ophélie Morival (puis pour d'autres voix amies) : https://www.youtube.com/watch?v=Q0bvWkljrlw.
Si vous ne retenez qu’une chose de lui, c’est que c’est une âme partageuse et disponible.
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Jolie chanson, pleine d’espoir. Mais beaucoup n sont plus attendus et dans cette foule grouillante, beaucoup vivent dans la solitude, car de plus en plus, l’amour de l’indépendance prend le dessus et, de moins en moins se font des concessions l’un à l’autre, lors tant que dure la santé, que l’on peut rire, chanter et sourire, la salle se remplit, mais se vide dès que rires et sourires ne peuvent plus fuser.
une beau poème rempli d’espoir, on attend toujours quelqu’un ou quelque chose.
Les gens qui se croisent, dans les rues dans les gares, mais jamais ne se voient
Deux regards qui se croisent mais qui jamais ne se recroiseront et laisseront
de cet instant une émotion indéfinissable..
Dommage de ne pas entendre le son qui devra fredonner cette chanson un homme bien évidemment super!