Quand je lis ton poème, c’est toi que je caresse
Ce sont les bienvenues, mes retouches, dis-tu
C’est comme si tu disais, caresse-moi sans cesse
Je te vois, je t’entends, je te sens, le sais-tu
Lorsque je bois ton texte avec délicatesse
C’est toi que j’admire, belle Mona Lisa
Prodigieuse muse, merveilleuse princesse
Dont la flèche ajustée, dans mon cœur s’enfonça
M’attardant sur un vers, c’est un baiser posé
Sur ta main d’ivoire si belle et généreuse
Qui l’a bien ciselé, patiemment composé
Comme font les poètes de l’époque glorieuse
En prononçant ton nom, à voix haute ou basse
C’est un long soupir, sortant de ma poitrine
Qui atteindra ce soir, ton balcon, ta terrasse
Porteur de mots d’amour et de brise marine
Brahim. B
Lorsque je bois ton texte avec délicatesse
C’est toi que j’admire, belle Mona Lisa
Prodigieuse muse, merveilleuse princesse
Dont la flèche ajustée, dans mon cœur s’enfonça