Cet arbre qui tremble
aux frissons de l’automne
d’une nuit profonde.
Ce coeur qui pleure d’amour
D’ombre et de lumière
Se couvre, de la brume de tes yeux.
Cette solitude du matin,
de quelques vers
au soleil d’une rime, qui
D’une fleur éphémère,
d’une étoile de mer
en font une romance , qui
D’une aile d’hirondelle,
d’un violoncelle
caresse la terre,
D’un voile de dentelle
sèche les larmes
d’un saule solitaire.
©2017 Lucien Scheer
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