Tu sembles dans ces eaux, te précipiter
Inconsciemment, au plus profond de ton être
Où ton reflet, émerge comme enchanté
Et laisse, tous ces beaux contours, apparaître
Tu sembles nous inviter, à t’admirer
A travers ce miroir, où l’on s’émerveille
Et se laisse docilement attirer
Par la beauté naturelle, sans pareille
A cette saison, notre belle nature
Revêt son jolie costume d’apparat
Avec insouciance et désinvolture
Au plus grand mépris, du temps qui s’en ira
Non, ne t’enfuis pas trop vite, pas encore
Ne laisse pas le vent froid, te déloger
Effacer de mon regard, ce beau décor
Que je voudrais éternellement, figez.
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