Tu es plus la plus ancienne de nos dames
Et ce soir, un immense flot de larmes
A la vue,de cet immense incendie
Qui nous laisse là, tout abasourdi
Tu te dresses là, depuis si longtemps
Peut être plus loin, que la nuit des temps
Ta flèche, s’illumine dans les cieux
Comme pour te rapprocher, de ton Dieu
Tu es notre mémoire collective
Et ta belle architecture ravie
Comme les pages, de ta longue histoire
De tes jours sombres, à tes jours de gloire
Tu es l’une, de nos plus belles dames
Et cette nuit, tu es en proie aux flammes
Sous le regard, de tous ces badauds tristes
Qui sont bien là, impuissant, fataliste
Mais l’essentiel, semble préservé
Tu pourras de nouveau, faire rêver
Encore t’élever,dans les nuages
Grâce à tous ces pompiers, plein de courage.
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