Ma rose a croisé le regard
D’un ciel toujours plus bleu
Et s’est épanouie dans l’espoir
D’un soleil généreux
Ses pétales ors et vermeils
D’un été renaissant
Ont l’odeur des merveilles
D’un éternel printemps.
Et que deviendrais-je sans toi
Ma mère, ma rose
Si jamais tu ne m’aimais pas
Si ta porte était close ?
Non, l’azur et Dame Nature
Ont leurs roses éphémères
Mais le cœur a un jardin si pur
Que ses fleurs ne fanent guère
Et ma rose a les yeux si bleus
Qu’elle ne verra jamais
Tous les nuages ténébreux
D’un cœur ingrat et laid.
Ma mère, je ne te le dis pas
Mais par ce poème
C’est tout mon cœur que je t’envoie
Et qui te dit : « Je t’aime »
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Cette délicatesse…