(hommages au langage Sanskrit et au peuple Veda (védisme))
Les Cendres orangeâtes le grand incendie du papier ancien
Et brillamment ainsi à nouveau aux rites des jadéites en herbes
Pour le vent qui tournoie au milieu d’une virilité occidentale
Cette fois c’est à l’ouest que les oiseaux indiens tournent la tête
La féminité parle ainsi au nom des rédempteur de jadis
Prônant un œuf Yoni à la puissance des intestins
Il y a une tempête spirituelle dans un trou de liberté
Tout dance et tout s’enflamme dans la jungle
C’est une musique naturelle et un éveil de sagesse
Qui offre une aube artificielle à la beauté réelle
D’une plage désertée de tous futurs soucieux
Les dents en collier et les chapeaux de plumes nous rendent heureux
Maquillage transcendé par les larmes des chamans et des aïeux
A proximité d’une rivière « jungloise » éternellement rêveuse
Les illuminés ne rentreront plus jamais chez eux
Ainsi le Véda régnera sur les âmes pures
Qui évaporera le poids du matérialisme
Ecoutez la parole du sacrée et de la protection
Sur un spectacle flou de grimages et de sifflements
Et après la foudre, rien ne sera plus tabou
Les corps ouatés du premier âge seront à la nature
Ce que les grands indiens sont nos pères sages
OMM
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