L’incendie qui couvait sous les cendres – IRIS 1950

L’incendie qui couvait sous les cendres
S’est éteint un beau matin de décembre.
La blessure béante s’est envolée avec le temps
Mon cœur s’est remis par enchantement,
À murmurer des je t’aime timidement
Puis avec une certaine assurance.
J’ai laissé les rayons du soleil
S’inviter par magie dans mon ciel.
J’ai pu caresser de nouveau les ailes
De ces magnifiques papillons
Qui survolaient la maison.
De nouveau la lumière
Est entrée dans ma vie
Moi, l’éternelle solitaire,
Par la porte de derrière,
Est laissé, peu à peu, l’amour revenir
Pour un plaisant devenir
Ceci non pas pour un jour
Mais pour toujours mon amour.

IRIS 1950

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2 Commentaires
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Invité
9 juillet 2019 6 h 20 min

Je découvre pas à pas votre univers….le renouveau semble frapper à votre porte..laisser le entrer.