Lettre d’une fan – Odile Stonham

Le printemps était là depuis, un bon mois
Quand vous êtes parti pour ce merveilleux pays
Où se retrouvent tous ces êtres aimés ici-bas
Et qui a pour très joli nom : le Paradis.

Depuis mon enfance, vos belles chansons m’ont bercée.
Qu’elles s’appellent “J’entends siffler le train”, “Les ballons”,
Sans oublier “Aranjuez”, “Le sirop typhon”…
Et toutes les autres, en français ou en anglais.

Richard, je n’aurai jamais la belle occasion
De vous voir lors d’un gala ou de vous écrire…
Même si j’ai quand même une petite consolation :
Celle d’avoir nommé mon fils aîné Anthony.

Je regrette, de n’avoir jamais pu vous dire
Que de mes chanteurs préférés, vous faites partie.

 

Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés

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Odile Stonham

Odile Stonham (196)

Bonjour,
Je m'appelle Odile et j'ai soixante-et-un ans. Je vis en Normandie, particulièrement dans le Calvados. Je suis mariée et j'ai deux grands enfants dont l'un m'a donné la joie d'être grand-mère de deux petits bonshommes : Ethan et Alexander.
J'ai commencé à écrire des poèmes à l'âge de seize ans et cela m'a beaucoup plu. Puis, petit à petit, j'ai continué à en faire. Etant sentimentale de nature, cela y a peut-être contribué. je ne sais pas. Mes sujets sont variés. Je les prends comme ils me viennent.

4 réflexions au sujet de “Lettre d’une fan – Odile Stonham”

  1. Odile, entends-tu “siffler le train”, conduit par un homme de la “nouvelle vague”. Alors Richard, ” à présent tu peux t’ en aller” sur ” la terre promise”, “c’est ta fête”, fais ce qu’il te plaît, “écoute le vent”, trinque avec ton épouse, “tchin tchin”, puisque tu es “amoureux de ma femme”, enfin la tienne , pas la mienne.

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