Le printemps était là depuis, un bon mois
Quand vous êtes parti pour ce merveilleux pays
Où se retrouvent tous ces êtres aimés ici-bas
Et qui a pour très joli nom : le Paradis.
Depuis mon enfance, vos belles chansons m’ont bercée.
Qu’elles s’appellent “J’entends siffler le train”, “Les ballons”,
Sans oublier “Aranjuez”, “Le sirop typhon”…
Et toutes les autres, en français ou en anglais.
Richard, je n’aurai jamais la belle occasion
De vous voir lors d’un gala ou de vous écrire…
Même si j’ai quand même une petite consolation :
Celle d’avoir nommé mon fils aîné Anthony.
Je regrette, de n’avoir jamais pu vous dire
Que de mes chanteurs préférés, vous faites partie.
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés
Bel hommage, mais vous le rêverez certainement dans ce merveilleux endroit.
vous savez, celui où on entends siffler le train.
Merci Anne pour votre message. Je crois que cette chanson poursuivra encore Richard car l’autre jour mon mari écoutait “Nostalgie” et il a entendu “siffler le train” !
Odile, entends-tu “siffler le train”, conduit par un homme de la “nouvelle vague”. Alors Richard, ” à présent tu peux t’ en aller” sur ” la terre promise”, “c’est ta fête”, fais ce qu’il te plaît, “écoute le vent”, trinque avec ton épouse, “tchin tchin”, puisque tu es “amoureux de ma femme”, enfin la tienne , pas la mienne.
Bonsoir Alain ! merci pour ta réponse que je trouve originale et drôle à la fois.