Minuit, mes quatrains sonnent
C’est un instant sublime
L’heure où la mignonne
Vient admirer mes rimes
Elles l’accueillent bras ouverts
L’enlacent, lui murmurent
La mélodie des vers
Puisés dans l’amour pur
Ma colombe les boit
Elle se désaltère
Elle n’est plus aux abois
Son allure est fière
Vêtue de poésie
Elle lève la tête
Et l’élixir choisi
Rend son corps en fête
Brahim. B
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Ode légère, ça fait du bien quand c’est si bien balancé !
Vive les poètes couche-tard !