Une vague bleue digne d’une plage au sable blanc,
Un crabe rouge carmin joue du violon silencieusement,
Des moines bouddhistes se taisent également,
Il attend une mort inattendue pour le dévorer goulûment,
La vague bleue dépose un pied nu et blanc aux ongles décorés,
Le violoniste affamé accourt le dévorer,
La chaire molle et puante l’enchante,
Il ne laisse que des os et des ongles décorés,
Le légiste trouve le violoniste en complète inanition,
Le spécialiste méticuleux conclue à une indigestion,
Un violoniste a pris son pied, affaire conclue.
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J’aime beaucoup. À mon humble avis, je trouve cela drôle, et ce n’est pas une insulte, bien au contraire.
Bonsoir Stéphane de bien jolis vers et j’entends alors le son du violon d’une belle poésie
Douce soirée bises !