Comme toujours en fuite sous le vent
que le vent son audace jamais souriant
de l’intense chétif au vent tourbillonnant
par vigueur soutenu à ce vent tournant
au vent mauvais les nuages en passant
Que le passant emporté par le vent obtus
à lui seul sait faire le vent sa venue
en vent tombé mainte fois égaré
du léger souffle maintenant éloigné
tombe la brise de l’aquilon violent
Du vent d’autant sifflant et chantant
sur les monts les plaines les arbres tremblant
y tombe le vent de son air enchanté
mainte fois biscornue et bruyant à volonté
à présent disparues et courant d’autres contrées
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