Quand l’ombre de tes sens, dessine sur mon corps,
Des élans d’incertitude, des hymnes sans remords.
Quand les doux sarcasmes enfouis, viennent flirter,
Viennent égratigner la dorure de tes idées,
Des élans d’incertitude, des hymnes sans remords.
Quand les doux sarcasmes enfouis, viennent flirter,
Viennent égratigner la dorure de tes idées,
Je m’évaderai dans un monde chimérique,
Attiré par les sirènes aux humeurs pudiques.
Je hélerai l’Enfer, hanté par mon désir.
Mais, il s’étiole à mourir dans mes soupirs.
Quand la lueur de ton esprit se rebelle,
Des sensations de gêne m’interpellent.
Quand la sourde douleur envahit ton abîme,
Je serai tapi, t’apportant une goutte d’infime
Et la lueur s’éteindra, happée par le jour.
Le noir blanchira avec doigté tes atours,
T’ensevelira d’un linceul blanc, sans retour.
un bonheur…..très particulier…..peut-être difficile à saisir…c’est un mélange d’évasions….de rêves….de stoïcisme et de symbolisme!!
MM
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merci beaucoup
quand même….UN commentaire
bonne soirée
MM
Et bien Jean je viens de lire votre sublime poème, alors moi je viens vous laissez mes impressions sur votre poème, je l’adore tout simplement, il est si fort d’amour.
pas un commentaire????
MM