| La femme que j’aime
est une rose au printemps,
d’un rideau rouge,
elle ouvre son coeur.
Sur un lac mystérieux,
un ballet de lumière
où dansent les étoiles,
où chantent les violons.
La femme que j’aime
quand elle se déshabille,
comme le ciel au vent
comme un coucher de soleil
comme un lys blanc
dans le baiser de la nuit,
mes rêves sur un lac blanc,
à l’encre de chine
sur une feuille blanche,
une plume de cygne,
d’un ballet de Béjart,
de satin blanc,
enivre mon poème.
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Poétique hommage, vos mots dansent et nous entraînent. C’est bien connu, l’amour donne des ailes !
Très beau et doux poème
Merci pour ce partage
Chantal