Le clavier-joie
Je n’ai jamais compris pourquoi
Quand tu étais auprès de moi
La vie pour moi était légère
Et s’écoulait comme rivière
Qui serpente dans les prés verts
Je ne saurais jamais pourquoi
Dans les allées de notre bois
Quand paraissait la clairière
Halte pour nous si familière
Tes yeux pour moi étaient lumières
Mais j’ai très bien compris pourquoi
Alors couchée tout contre moi
Ayant fermé tes deux paupières
Tu permettais que mes mains errent
Abolissant toutes les frontières
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