Plume ! Plumes qui s’envolent
Et décollent
Autour d’un oreiller,
Autour de ton cœur esseulé.
La musique nous lance
Des doux sons d’amour,
Qui nous balancent
En cadence.
Berce notre cœur,
Du plus grand bonheur,
Pour des amours dénudés,
Pour des fleuves de vie délurés.
Ô soupirs qui glissent sur nos peaux,
Percevez les caresses de nos mains,
Celles qui percent d’une flèche demain
D’un fragile cœur, et rend beau.
Ô Les mordantes lèvres, s’embrasant
Dans le feu de l’action,
Plongeant dans cette trouble passion,
Et dévoile sans failles un peu de notre temps.
L’amour est humain, l’amour humain,
Celui qui enflamme nos lendemains,
Celui qui nous chavire, ô douce dérive,
D’un ravissement de rives en rives.
©Hubert-Tadéo Félizé
Magnifique