la maison paternelle-Brahim Boumedien

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Elle si animée

Il y a plusieurs années

Semble abîmée

Et maintenant fanée

 

Celle qui en était l’âme

Est partie sans gémir

Cette grande Dame

En était le sourire

 

Elle s’est sacrifiée

Pour que vivent les siens

Elle s’est toujours fiée

Au fabuleux destin

 

J’en garde encore l’image

Que je ne peux oublier

Ma mère était sage

Et nous était liée

 

Elle est au paradis

L’héroïque princesse

Dieu a toujours dit

Qu’il tiendrait ses promesses

Brahim. B le 5 juin 2020

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Brahim Boumedien

Brahim Boumedien (678)

- Diplômé de l'Ecole Normale Nationale d'El-Harrach - Formateur (Education Nationale et Formation professionnelle) - Ancien professeur de Techniques de gestion et de Techniques d'Expression - Ancien professeur à l'ENNET - Ancien directeur de collège. S'occupe actuellement de recherche pédagogique (lutte contre l'analphabétisme, en particulier)
Site Web : https://pedagotec.e-monsite.com

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10 Commentaires
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Invité
6 juin 2020 13 h 45 min

Merci et bravo Brahim pour ce magnifique poème en hommage à la maison paternelle et à ta maman chérie, hé ben oui nous sommes tous animés par nos souvenirs qui enrichissent nos mémoires et qui nous aident à vivre.

Lucienne Maville-Anku
Membre
6 juin 2020 10 h 37 min

On n’oublie Pas sa mère
Mère et père tout à la fois
Père et mère, son lieu à soi
Sa maison-pater
Sa maison-mater
“La maison paternelle”, magnifique poème me ramène à mon lieu et m’inspire tant.
“La maison paternelle” de sa mère, l’oublie-t-on jamais…
Merci Brahim.

Invité
6 juin 2020 9 h 48 min

c’est un très joli poème nostalgique, sur l’enfance et ses origines,, mais pourquoi ne pas l’avoir nommé « la maison maternelle » ? amicalement

Invité
6 juin 2020 8 h 33 min

Bonjour Brahim,

Touchant !

Christian Satgé
Membre
6 juin 2020 7 h 13 min

Une belle évocation de ce lieu qui ne peut qu’être attachant. Merci Brahim de nous rappeler des lieux qui ont été faits et qui nous ont façonnés plus quo’n ne saurait le dire. Amicalement…