
Tu l’oublies dans un mouchoir
Dans ses bras toute une histoire
Quand pendant seul dans un lit
Repensant à toutes ses nuits.
Mourir n’en vaut pas la peine
Même si elle coule dans tes veines
Ton corps est un cimetière
Fantôme des amour poussière.
Tu es l’ombre d’un silence
Dans tes bras plus une dance
Ton cœur en demi mesure
Tu l’aimais ça j’en suis sûr.
Aller arrête je le veux
Toi avec moi c’est nous deux
Meurt pas d’amour reste un peu
Sèche tes larmes y’a pas mieux.
Je sais tu pleure, t’es malade
Ta mal aux yeux, sa fait mal
Arrête un peu de chialer
Moi j’ai un cœur pour t’aimer.
Combien sont parties pour une
Tu seras pas le premier
Oui je vois, t’es sans rancune
Dans tes yeux, tu veux aimer.
Viens mon ami, on oublie
On marche un peu, c’est fini
Heureux de voir que se soir
L’amitié dans nos regards.

Je suis orphelin, (Né le 27/05/1981 à Rennes). J'ai été élevé par ma grand-mère et mon arrière grand-mère.
Mon grand-père dès mon plus jeune âge, me laissait dehors pendant l'heure du film. Il buvait beaucoup et je m'en prenais plein la figure quand il ouvrait la porte.
Mon rêve n'est pas de devenir riche, non, bien loin de là, mais mon rêve avant de partir serait d'avoir l'âme d'un poète et pouvoir faire partie de cette grande famille qu'est la poésie.
C'est ma mère, à mes trois mois qui m'a abandonné devant sa porte dans un berceau avec le vaniti, un torchon pour tenir mon biberon, mes fesses étaient brûlées au troisième degré, car mes changes n'étaient pas changés.
Par les pleurs les voisins m'ont recueilli, les services sociaux sont venus. J'ai eu la chance d'être élevé par mon arrière grand-mère et ma grand-mère.
Je remercie les femmes qui ont pris soin de moi, mais en même temps je remercie cette dame qui m'a abandonné car je crois que c'est grâce à celà que j'aime la poésie.
Je remercie fortement Alain d'avoir créé ce site pour nous , merci !
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