Il ferme parfois les yeux un instant
suffisamment pour englober tout le ciel bleu
avec ses milliards d’étoiles brillantes
avec nos espoirs
avec notre vie après la mort
(comme si cette vie n’aurait pas suffi !)
de là, des yeux du poète
l’Univers
se glisse dans leurs coeurs sans fin
puis dans leurs livres
(à travers lequel ils deviennent éternels),
il y a donc un monde merveilleux de poètes immortels
un espace de Plume de poète, virtual,
intergalactique.
Dans chaque maison, chaque endroit
le poète pleure comme un enfant
insatiable,
inconsolable
au sein inépuisable et voluptueux de la vie.
Jamais le poète ne meurt !
*
©Contu Aurel – 15/06/2018
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Merci, Fattoum et Christian. Toute la considération!
Très beau et profond partage Contu
Douce nuit
Mes amitiés
Fattoum.
Comme vous avez raison, Contu… !