Que l’on croise,
Qui comme un brouillard
couvrent nos cœurs.
Parfois, ils sont détresse,
parfois caresses.
De ces regards,
Qui transpercent l’âme
Qui chavirent les cœurs.
Des regards perdus
Dont les souvenirs vagues
encombrent notre mémoire.
De ces regards enflammés
Qui dans une tempête de braises
emportent notre raison.
TOI, qui me croise
REGARDE-MOI
J’ai besoin de ton regard
De tes yeux que je lise
la joie ou la peine,
que je te réconforte,
que nous soyons humain
Luciano
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Ce poéme a presque 5 ans mais son regard est toujours aussi beau !