Madame,
La première fois que je t’ai vue, coup de jus.
Depuis, les coups se sont répétés mais maintenant c’est éteint. Alors je cherche des photos de toi sur internet. Mais une photo c’est pas pareil ça ne dessine pas des arabesques quand ça sourit.
J’aimerais te dire que tu es belle comme un crash aérien. C’est à cause de tes yeux feu. Ton visage ressemble à une équation au miel.
Tu t’habilles toujours avec soin, un port strict que tes cheveux comme herbes folles vient ponctuer agréablement. Tu es souvent tout en noir.
Des lèvres fines aux commissures et pulpeuses en leur cœur. Des yeux feu qui évoquent un serpent hypnotique. Ton nez droit, ton teint mat, ton cou fin.
Bien à vous,
Banshee
Madame,
Hors-piste des paradoxes oiseaux et des méduses captives. Te rappelles-tu près des yeux loin d’une centaine d’affiches publicitaires ? Petite porte ta marque tant de rêves en l’air mais c’est de toi mon amour créatrice que je suis fou à ne maçonner que de la fausse beauté. Sans toi ma vie couleur usine. La foule et ses moralités, écœurée des lecteurs de poètes, perdue haine collective.
« L’aigle est une fleur et la proie son parfum ».
Bien à vous,
Banshee
Madame,
Psychédélice,
Ô musisens du bord du monde !
Audaçailes déploient
Cathédralàpattes pour le feston du roi !
Millmiel de la ruche la chute
Ourséclaboussé alors pas tout oursé !
Toirires émoi l’envers
Racinée la vie d’artiste !
Bien à vous,
©Banshee
Comme un camaléon. Surprenant toujours
Merci de caméléon OberLenon !
Envolée de poésie ? Merci ! Banshee êtes-vous bien ici ? Amicalement.
Je suis ici ! Merci pour votre commentaire.
C est entraînant et touchant… beaux passages poétiquement vôtres
Ol
Merci Delloly !